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Au-delà de la joke la plus complète que représente ce dossier, ce paragraphe me fâche le plus:
Cette prouesse informatique survient alors que l’Autorité régionale de transport métropolitain (ARTM) vient d’accorder 1,13 million à l’entreprise parisienne Spirtech pour développer une application semblable. À la clé, le contrat prévoit des redevances versées sur chacune des quelque sept millions de transactions annuelles projetées pour l’achat de titres de transport sur mobile.
Veux-tu me dire, ciboire, pourquoi on est pas capable de trouver une compagnie québécoise pour faire ça? C’est pas comme si le projet demandait des experts ultra spécialisés et rares. Pourquoi un projet qui peut potentiellement générer beaucoup de profits (avec les redevances) ne trouve pas preneur ici? Tk, tout ce dossier est tellement risible…
Je ne serais pas surpris que la demande de soumission ressemble probablement plus à traiter quelques millions de clients simultanément dès le jour 1 sans comprendre qu’initialement on parle probablement plus de centaines de personnes simultanément, surtout que c’est encore pour recharger une carte…
Habituellement le gros problème sur l’évaluation des systèmes informatiques, c’est une mauvaise évaluation de l’échelle…
Oui, je me suis dit que peut-être l’évaluation était complètement off. Mais de quel côté? Est-ce ton scéniaro, ou le contraire? Où les infos fournies pour le devis étaient déficientes, que les firmes françaises ont sous-évalué et la firme queb s’est dit, “voyons, c’est tout croche st’affaire-là, ils ont pas tenu compte de ci et ça”. C’est plein de possibilités!
Considérant que le gars en a codé une version MVP en 3 mois par lui-même, j’aurais tendance à dire que ça été surévalué